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ЗНАЕТЕ ЛИ ВЫ?
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Repérez dans chaque texte des phrases, des expressions et des mots, utilisés pour montrer que la personne dont on parle sait bien son métier.
Содержание книги
- Une réponse évasive
- Voir le monde à travers son GSM
- Résumez les principaux points du texte.
- Répondez aux questions.
- Ajoutez des compléments aux verbes ci-dessous.
- Lisez le texte ci-dessous. Au lieu des points mettez les mots qui manquent.
- LES FRANÇAIS ET INTERNET
- Le Web à votre service. Devoirs. Dans quel but les Français et les Biélorusses utilisent-ils Internet (vie professionnelle, quotidienne, privée)?. Discutez de l’importance de ce nouvel outil: ses avantages, ses inconvéni
- LA MOITIÉ DES EUROPÉENS SURFENT
- Le texte est composé de trois parties. Donnez un sous-titre à chacune de ces parties.
- Histoire de la poste dès origines jusqu’à nos jours
- Présentez les étapes essentielles de l’histoire de la poste.
- Histoire d’Internet. ARPANET. La"Toile"ou Web. Les enjeux d’Internet. Changement du comportement. Faire circuler l’information
- Les risques inhérents à Internet
- Les risques liés à la sauvegarde de la propriété intellectuelle
- Parlez de l’histoire de la création du réseau Internet.
- Choisissez la réponse correcte.
- Sujet 1. L'ÉVOLUTION DES MÉTIERS
- Grand luxe et rapiéceuses
- Expliquez le sens des mots et des expressions suivants et utilisez-les dans des phrases qui en montrent bien le sens.
- Quels sont d’autres métiers en voie de disparition ou déjà disparus qui vous viennent à l’esprit?
- Relevez dans les documents déjà étudiés ou des dictionnaires les mots qui se rattachent au thème "Travailler".
- Cherchez parmi les noms de métiers (activités) cités dans le vocabulaire ci-joint les noms qui dérivent d’un verbe.
- Lisez les dialogues ci-dessous, reproduisez-les à votre choix en imaginant la fin (3-4 répliques).
- UN FILM À RÉSUMER
- Repérez dans chaque texte des phrases, des expressions et des mots, utilisés pour montrer que la personne dont on parle sait bien son métier.
- Faites la liste des qualités qu’on attribue à ceux qui exercent ces professions.
- Retenez quelques noms de petits artisans.
- Agrave; quel artisan de la liste faites-vous appel dans les circonstances suivantes?
- Jouez à deviner des noms de métiers en donnant progressivement les indices.
- Expliquez ce que signifie le proverbe: "Qui a métier a rente". Citez d’autres proverbes qui ont le même sens.
- Repérez dans chaque texte des phrases, des expressions et des mots, utilisés pour montrer que la personne dont on parle fait bien son métier.
- Faites la liste des qualités qu’on attribue à ceux qui exercent ces professions.
- B. En groupe, cherchez d’autres professions, jusqu’ici essentiellement masculines, exercées aussi par les femmes. Quelles formes féminines proposez-vous?
- Chassez les intrus de chaque liste.
- Relevez les connecteurs logiques utilisés pour appuyer ce raisonnement.
- Professeur: la passion d’enseigner
- Pourquoi avez-vous choisi d'enseigner le français?
- Un professeur n’enseigne pas seulement. Il doit également écouter ses élèves...
- Le prof à un an de la retraite
- Le prof sévère ... mais juste!
- Le prof de la matière que vous détestez
- Qu’est-ce qui vous plaît dans ce métier?
- Faites une présentation de chaque profession dont on parle dans les textes étudiés en vous servant en plus du lexique qui suit.
- Imaginez par qui peuvent être dites les phrases qui suivent.
- Quel est votre professeur idéal.
- quot;Entre 20 et 30 ans, pas trop laid"
- Un métier à l’écoute: acousticien
- Un métier de rêve
- Comment choisir un bon métier sans se tromper?
LE GARAGISTE
L’invention du garagiste (ou mécano), remonte à la plus haute antiquité. En ces temps non datables, il s’appelait tantôt Héphaïstos, tantôt Vulcain.
Induit en tentation ou expulsé, peut-être le patron, au bout de quelques années de retraite, perdra-t-il de son odeur de cambouis qui le gênait, jadis, pour lever les filles au bal du samedi soir. Mais c’est jusqu’à la fin de ses jours que, non sans nostalgie, il conservera le souvenir de la sensation de froid et d’humidité infligée par le sol en ciment sur lequel il fallait s’allonger pour se glisser sous la voiture, réparer le moteur; ou, les muscles abdominaux aussi durs que le fer, se tirer de cette posture par des contorsions, la plus lourde des pièces sur le ventre. Il ne se plaignait cependant pas de ce métier où le salaire minimum est aujourd’hui de mille euros par mois; il réalisait un rêve d’enfant, il était fou de mécanique, et un scientifique n’était pas plus fier de sa découverte au fond de la cornue que lui, quand il avait établi, devant des experts perplexes, la raison pour laquelle le pont arrière grognait.
Le mécano tel qu’on l’a connu n’a pas d’avenir à court terme. On le regrettera: c’est le dernier qui aura mis la main et le coeur là où il n’y a plus que l’anonymat de la machine.
LE CONDUCTEUR DE TGV
Plus de trace de suie sur son visage ni de bleu taché de graisse. La fumée qu'il supporte n'est plus que celle de sa longue cigarette blonde. II a les mains propres et la mine réservée.
D'ailleurs, rien ne le distingue des voyageurs qu’il transporte. Avec son costume, ses mocassins et sa serviette, il ressemble comme un clone à la horde de cadres à blazer, cravate et attaché-case qui remplissent dès la pointe du jour le TGV. Climatisation, cabine aérodynamique, fauteuil ergonomique, c’est le roi de la ligne. Pour vérifier les essieux, il tapote négligemment son clavier. Ingénieur informaticien. De leur côté, les voyageurs embarquent en bâillant, encombrés d’un jeu complet de journaux ou d’épais documents. Objectif: ne pas gaspiller une seule des précieuses minutes que le TGV leur fait gagner. Le train démarre sans bruit. Puis décolle. 250, 280, 300 à l’heure, il tranche dans le brouillard, imperturbable. À chacun sa course! L’agent de conduite, lui, contrôle sa vitesse, prêt à se faire hara-kiri pour un poil de retard. C’est une affaire d’honneur. Ses voltmètres et ses manomètres, il les surveille attentivement. Une pression toutes les cinquante-cinq secondes sur le volant, une sonnerie stridente pour contrôler sa vigilance et une sirène qui se déclenche au moindre relâchement.
Sa supériorité, il la savoure en longeant des autoroutes où les voitures restent immobiles. Il n’a pas que des copains. Désormais, les vaches l’ignorent avec un mépris magnifique. Les chefs des petites gares à la dérive ont juste le temps de hurler "Fossoyeur!". Ceux qui ont un château du XVIIIe dans le paysage ont muré leurs fenêtres "pour ne pas voir ça". Quant au conducteur de train classique, il le hait, lui qui "se prend pour un monsieur" et qui "gagne bien mieux sa vie". Normal, il est payé au kilomètre. Quand un tortillard en fait 100 en une heure, lui en avale trois fois plus. Et avec facilité, le monstre.
À 9 h 23, l’engin freine. Lorsque le tégéviste a coupé tous les contacts et descend de son engin, le quai est déjà désert. Personne pour l’applaudir. Le conducteur de TGV vit dans un monde d'ingrats.
Devoirs
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