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Les principes de la classification des mots.

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En subdivisant tous les mots en parties du discours les savants suivaient certains principes:

1) le principe morphologique qui régnait dans la grammaire, les savants ce qui le proposaient prêtaient une grande attention à la forme des mots. P. ex., ils donnaient une telle définition au substantif - partie du discours qui a la catégorie du cas et qui change. Ce principe est applicable surtout pour les langues synthétiques où les formes des mots changent. Le substantif se déclinent et même dans les langues synthétiques où il y a le substantif qui ne change pas. Ainsi ce principe pris isolément n'est pas valable.

2) D'autres insistaient sur le principe syntaxique, sur la fonction du mot dans la proposition (Шахматов, Bruno, Потебня). Une partie du discours est un terme de la proposition. P. ex., Bruno dans la phrase "Je travaille avec ardeur" explique que "avec ardeur" veut dire "ardemment", donc "avec ardeur" est un adverbe et ce groupe doit être placé parmi les adverbes. C'est un point de vue erroné, car une partie du discours peut remplir plusieurs fonctions dans la phrase, mais elle reste unique comme partie du discours. Ainsi personne n'avait pas raison, car ils oubliaient le sens. En répartissant les mots en classes lexico-grammaticales, il faut tenir compte et de la valeur sémantique du mot, il faut prendre en considération ses catégories grammaticales (formes des mots) et penser à la fois à la fonction des mots dans la phrase. Ces temps derniers les savants ont souligné que ces 3 principes ne suffisaient pas. Il faut parler des possibilités combinatoires des mots, de leur positions dans la phrase, car l'environnement joue le rôle capital et nous aide à la définition de la partie du discours. P. ex., le nom se distingue du verbe avant tout par la nature des mots-outils qui le précèdent. Les particules verbales sont: il, elle, on etc.; le particules nominales sont: une, la, ça, quelque etc. Dans la répartition des mots en classes grammaticales un rôle important appartient à la distribution. P. ex., "comédien", "il est passablement comédien" et "il est un comédien passable" peut être défini comme substantif/adjectif ce qui dépend des déterminatifs qui précèdent et des compléments qui suivent. La répartition des mots en groupes est différente selon la langue, mais il y a beaucoup de commun, surtout dans les langues-sœurs, bien que chaque langue possède ses propres parties du discours qui n'existent pas ailleurs.

 

17) le problème des parties du discours.

Dans le français il y a des parties du discours spécifiques, mots-outils, car le français est une langue analytique par excellence et tous les substantifs et tous les verbes sont employés avec des actualisateurs. Le problème des parties du discours suscite beaucoup de controverses et concerne surtout les points suivants:

1) la nécessité même de la distinction des parties du discours - le système traditionnel est critiqué et certains linguistes nient sa nécessité même. Certains parmi eux même critiquent la répartition des mots (Bruno, Tesnière), emploient la terminologie traditionnelle (substantif, adjectif, adverbe) ce qui rend la nécessaire de la definition de ces notions. Les linguistes qui ont voulu s'affranchir de l'influence de la terminologie traditionnelle, en avançant de nouveaux principes de classification (Epichau) ont abouti à dégager des classes de mots sensiblement comparables à des parties du discours traditionnelles. Ça prouve que la notion de partie du discours reflète une réalité linguistique incontestable. Il s'agit d'étudier cette notion de plus près en perfectionnant les principes de classements.

2) l'inventaire des parties du discours n'est pas facile à dresser, vu que les différences sémantiques ne coïncident pas toujours avec les particularités grammaticales des mots. P. ex., "avant" peut fonctionner comme un mot-plein (adverbe) ou comme un mot-outil (préposition). "Avoir" peut être un mot plein, mot-outil ou mot-auxiliaire. "Mon" - "le mien" ont un sens semblable, mais ils se présentent comme mot-outil et comme mot-plein. Le nombre des parties du discours varie selon les grammaires de 7/8 chez Vagnaire, Epichon dans la grammaire Larousse à 11 chez Богомолова, Реферовская-Васильева. Toutes les grammaires distinguent le nom et le verbe. Les autres parties du discours soulèvent des discussions. P. ex., le nom de nombre peut faire une partie du discours àpart - les numéros cardinaux, on les range avec les déterminatifs ou on les considère comme les adjectifs. Les mots - modaux généralement associés avec les adverbes ou une partie du discours àpart. La répétition des mots en classes lexico-grammaticales peut baser sur la variabilité ou l'invariabilité des mots. On distingue alors le nom, l'adjectif, pronom, verbe, article et d'autre part l'adverbe, la préposition, la conjonction, l'interjection. On prend en considération seulement la forme, on réuni dans la même rubrique les parties du discours fort différentes. L'adverbe - une vraie partie du discours est placée parmi les mots-outils et même ensemble avec les interjections. On réunit ensemble des mots avec une fonction nominative, avec les prépositions qui sont privées de cette fonction. Ce principe de classement est exemplifiée par la grammaire française de Jean Dubois. La grammaire scolaire compte àpart les participes. Certains auteurs, Vagnaire, Epichon, refusent de faire de l'article une partie du discours àpart. Ils introduisent dans le chapitre consacré aux noms ("déterminatifs, spécifique du nom", parmi lesquels ils placent également des déterminatifs possessifs, démonstratifs, interrogatifs, indéfinis.

3) la hiérarchie des parties du discours. Il existe les 4 parties du discours essentielles: nom, adjectif, verbe, adverbe qui ne tiennent pas une place égale dans la structure de la langue. Les tentatives d'établir une hiérarchie entre elles:

1. Jespersen - prend en considération la fonction nominative des mots (le substantif). Le substantif est le moyen de nomination par excellence et a sous sa dépendance l'adjectif et le verbe. Le verbe exprime une caractéristique prédicative du substantif. L'adjectif donne une caractéristique non-prédicative. L'adjectif et le verbe peuvent être caractérisés par l'adverbe.

2. Lucien Tesnière parle du rôle des mots dans la phrase. C'est le verbe qui constitue le noyau de la phrase et qui est le porteur principal de la predicativité sans laquelle la phrase n'existe pas. Le nom et l'adverbe dépendent du verbe.

3. Galichet - la hiérarchie traditionnelle - distingue 2 catégories principales, nom et verbe, égaux en droit qui ne sont pas régie l'un par l'autre, mais qui s'accordent et 2 catégories adjointes, l'adjectif et adverbe.

On peut dire que chacun de ces points de vue met au premier plan l'un des traits existants dans la réalité linguistique.

 

18) les procédés grammaticaux.

En français les moyens d'expression grammaticales sont: la flexion, l'agglutination, la supplétion, la fléxion détachable, l'environnement et l'emploi des mots-outils. Certains de ces procédés grammaticaux sont liées aux modifications intérieures qui affectent le mot-même et reflète les catégories morphologiques. D'autres sont liées aux modifications extérieurs qui touchent l'environnement du mot, alors que celui-ci reste invariable. Elle reflète les catégories syntaxiques.

A) les modifications intérieures du mot comprennent les procédés grammaticaux suivant:

1) l'agglutination - le nouvel élément, porteur d'un sens grammatical opposé vient s'ajouter au mot sans rien y remplacer. P. ex., table (singulier) - tables (pluriel + s). S - un élément d'agglutination; national (m) + e (f)+ s (pl)).

2) Dans tous les cas les nouveaux éléments du mot en question selon l'élément remplacé on distingue:

a) la flexion - la modification d'un élément secondaire (p. ex., parle - parlons - parlez);

b) la flexion intérieure qui procède de l'alternance des sons (généralement des voyelles) au sein du radical, alors que les autres éléments du mot ne changent pas, p. ex., il fait - il fit;

c) la supplétion - les formes grammaticales, les opposées du mot sont crées à partir des thèmes (основа) différentes supplémentaires, p. ex. suis - es - fut; bon - meilleur, je - me - moi; mauvais - pire);

d) la flexion détachable où forme analytique liée au changement d'un élément séparable (p. ex., il fait, as fait).

B) Les modifications extérieures de mots prennent 2 formes touchant l'environnement du mot:

1) l'adjonction d'un nouvel élément. Ces éléments ajoutés sont de 2 types:

a) les mots-outils (grammaticaux) dont la seule fonction dans la langue est de s'associer aux mots pleins pour leur permettre de faire partie de la phrase (des articles, des prépositions, toute sorte déterminatifs - des pronoms, des particules etc). P. ex., une table, à l'école etc.

b) des mots désémantisés qui ne jouent le rôle d'outil qu'accidentellement. P. ex., le verbe "être" dans le prédicat nominal (il est étudiant) est déssémantisé.

2) aucun élément nouveau n'apparait dans la phrase, l'environnement seul marque le changement de la catégorie. P. ex., l'ordre des mots qui distingue 2 catégories de sujet et d'objet (Pierre voit Paul, Paul voit Pierre).

Il faut distinguer les moyens d'expression grammaticales synthétiques - le mot change (morphologie): l'agglutination, la flexion, la flexion intérieure, la supplétion - et les moyens d'expression analytiques - le mot ne change pas (la syntaxe): l'adjonction (a - mots-outils et mots-déssémantisés et b - l'environnement), la flexion détachable. Parmi les moyens analytiques on distingue 2 groupes - les moyens analytiques morphologiques (flexion détachable) et les moyens d'expression analytiques syntaxiques (les restes).

 



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