Comment exprimer une surprise 


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Comment exprimer une surprise



Ça m'étonne. C'est bien étonnant. C'est bien surprenant. C'est incroyable. Je n'aurais jamais cru cela. Je ne m'y attendais pas. Je n'en reviens pas.

Tiens!

Vraiment 1

Je suis étonné de son attitude.

J'en suis surpris.

Je suis étonné qu'il soit venu

après tout. Cela me surprend.

12. a) Observez et répétez:

1)—Tu as entendu cette nouvelle? C'est incroyable?

— Vraiment? Et qu'est-ce qui t'étonne?
2)—Est-ce que tu ne te doutais de rien?

— Je m'attendais à tout, sauf à cela. Si quelqu'un d'autre m'avait
dit cela, je ne l'aurais jamais cru.

b) Analysez les formules de surprise du point de vue de leur emploi stylistique. c) Donnez le plus de répliques possibles qui expriment la surprise:

II a changé de métier! Le chef paraissait très favorable à ce pro­jet. Ils se sont réconciliés? Elle va finalement l'épouser? Je parie que c'est lui qui en est l'auteur. Et elle est partie comme ça? Il s'est mon­tré très généreux.

d) Imaginez des situations: vous êtes surpris de rencontrer votre ami (votre collègue, votre parent) à un certain endroit.

Modèle: Le père de Pierre rencontre son fils au café alors qu'il devrait être au lycées: — Tiens! Qu'est-ce que tu fais là?

ENTRAÎNEMENT À L'EXPRESSION ÉCRITE

1. Composition: Le rôle des valeurs spirituelles dans la vie des jeunes.

2. Traduisez:

1. О какой профессии мечтал ваш сын в детстве? Конечно, о про­фессии летчика. А сейчас для него важно стать летчиком-испытате­лем. 2. Если вы хотите добиться цели, надо действовать, а не рас­суждать. В вашем распоряжении всего неделя, с 15 по 22 марта. 3. Ей казалось, что эта минута длится вечность. 4. Мне не нравится, что ты скрыл от них трудности этого дела. 5. Осуждение проблемы досуга молодежи вызвало большой интерес у студентов нашего курса. 6. Его недавние действия еще раз свидетельствуют о том, насколько он к ним привязан. Такое отношение всегда вызывает восхищение и уважение. 7. Я ожидал всего, кроме этого. Если бы кто-нибудь дру­гой сказал мне об этом, я бы не поверил. 8. Тебе здесь нравится? Очень. 9. В чем будет состоять моя основная задача? Пока еще точ­но трудно сказать, но я думаю, что вы будете заниматься разработ­кой новых моделей. 10. Она с трудом убедила их в этом. 11. В те-


чение месяца надо разработать новый проект и представить его на рассмотрение. 12. Твой дедушка мне очень нравится. Он великолеп­ный собеседник, с ним можно поговорить на самые различные темы. 13. Хотя девочке нравилось в пионерском лагере, она все-таки очень скучала по своим родителям и каждое воскресенье с нетерпением ожи­дала их приезда. 14. Этот спектакль стоит посмотреть. Я уверен, что он произведет на тебя большое впечатление. 15. После того, что произошло, вы еще ему доверяете? Это большая ошибка, с вашей стороны.

II. ANALYSE LEXICO-STYLISTIQUE DU TEXTE

APPROCHES DU TEXTE

1. Formulez l'idée (ou les idées) directrice(-s) du texte. Comment
se réalise-t-elle à travers les caractéristiques des personnages?

2. Par quels moyens est créé la ligne thématique des changements
qui s'opèrent dans la psychologie et la façon de se conduire de Jérôme
et de Sylvie? Relevez et analysez l'expressivité de ces moyens.

3. Un des thèmes centraux est le thème du rôle des biens matériels
dans la vie d'un homme. Relevez tous les mots du texte qui se rappor­
tent à ce thème. Formulez la (ou les) raison qui vous incite à classer
tel ou tel mot dans ce thème.

4. Trouvez une (ou des) opposition dans ce texte. A l'aide de quels
moyens est-elle réalisée (opposition purement lexicale basée sur l'em­
ploi des antonymes, opposition des personnages, par quelques procédés
de composition, etc.)?

5. Trouvez dans le texte les mots qui évoquent les réflexions d'une
jeune personne au moment du choix de sa vocation.

6. Ce texte, vous paraît-il neutre, livresque, recherché, familier? A
quoi est due cette impression? Au vocabulaire, à la syntaxe? Alors, re­
levez tous les mots qui créent cette impression, toutes les constructions
syntaxiques qui y contribuent.

7. Etudiez et analysez le rôle du détail dans la mise en relief des
idées du texte.

8. Relevez toutes les épithètes employées dans ce texte, observez
leur expessivité, analysez leur rôle dans le texte.

9. Avez-vous senti l'attitude de l'auteur envers ses personnages, leur
façon de vivre? Quels éléments du texte permettent de sentir cette at­
titude, d'entendre «la voix de l'auteur»?

PREMIÈRES NOTIONS LINGUISTIQUES

Phraséologie

Dans chaque langue il y a des groupements de mots qui ne sont pas formés au moment de la parole mais qui existent dans la langue et


sont reproduits par ceux qui parlent ou écrivent. Ces groupements de mots sont appelés des locutions figées. A la différence des groupements de mots libres dont les composants dépendent seulement de l'idée que veut exprimer celui qui parle, les locutions figées ont une composition plus ou moins stable.

Comparez:

Une locution figée: un blanc bec = un jeune homme prétentieux et inexpérimenté — aucun des mots-composant ne peut être remplacé.

Un groupement de mots libre:

Un homme intelligent — on peut remplacer chacun des mots-com­posant: une femme intelligente, une réponse intelligente, un livre intelligent, etc.; un homme intel­ligent (malade, robuste, stupide, chétif, etc).

Les locutions figées peuvent être divisées en deux groupes essen­tiels: a) les locutions phraséologiques; b) les locutions de caractère ana­lytique. Les premières sont caractérisées par ce que le plus souvent le sens de toute l'unité ne découle pas de celui de ses composants; le sens d'une unité phraséologique n'est pas motivé. Très souvent cela est lié à l'emploi d'un ou de tous les composants au sens figuré: un coup de tê­te, mettre la charrue devant les bœufs, etc. Les locutions (unités) phra­séologiques contiennent souvent quelque archaïsme lexical ou grammati­cal ce qui contribue aussi à leur stabilité:

entrer en lice = entrer dans la lutte — par allusion au champs clos des tournois formé par une palissade ou barrière nommée «lice»;

à huis clos — derrière les portes fermées (huis-porte, clos — participe passé du verbe vieilli «clore» = fermer). L'absence de l'article est aus­si une marque de la syntaxe archaïque.

Une des particularités des unités phraséologiques est qu'elles ont une couleur purement nationale: dans chaque langue il y a beaucoup d'uni­tés phraséologiques qui n'ont pas d'équivalents en d'autres langues. Par exemple: être malheureux, comme des pierres — être très malheureux; avoir d'autres chats à fouetter — avoir d'autres sujets de préoccupations plus importantes, d'autres affaires. Ce sont des expressions purement françaises.

Le sens des locutions analytiques est motivé, il découle du sens des composants. Les locutions analytiques sont surtout nombreuses dans le style de journaux: barrer la route à la guerre, désarmement complet, venir en visite, homme d'état, etc.

D'après leur fonctionnement syntaxique les locutions figées peuvent être équivalentes à un mot: «Puis il se trouva un directeur d'agence qui, pressé par le temps, leur fit confiance» — faire confiance à qn — croire qn,... les études de motivation avaient fait leur apparition en France — faire son apparition = apparaître. Elles peuvent être équiva­lentes à un groupement de mots: crier à tue-tête = crier fort; courir


comme un dératé = courir très vite. Les locutions figées peuvent par­fois être équivalentes à une phrase: «Que celui qui est sans péché lui jette la première pierre» — personne n'a le droit d'accuser facilement les autres.

Les locutions figées qui correspondent par leur sens à un seul mot sont d'habitude des constructions à deux termes. D'après une classifica­tion grammaticale ce sont le plus souvent des locutions verbales; faire peur = effrayer; faire du mal = nuire à qn; avoir peur = craindre, etc. Parfois ces locutions verbales (avoir froid, avoir faim) sont l'unique moyen d'expression de la notion et n'ont pas de mot équivalent. On peut dire que le français qui a des tendances analytiques préfère ces con­structions aux mots simples. Grâce au procédé d'expression analytique on exprime des nuances que souvent aucun verbe simple ne pourrait rendre.

Les verbes qui donnent le maximum de locutions analytiques sont: être, avoir, faire, prendre.

Outre les locutions analytiques verbales on trouve dans le français d'aujourd'hui un grand groupe de locutions analytiques nominales: châ­teau de cartes, homme de lettres.

Le plus souvent elles ne correspondent pas à un seul mot. Les locu­tions nominales abondent dans la langue de la presse et dans les termi­nologies spéciales: opinion publique, coexistence pacifique, le plein em­ploi, à l'occasion de chômage.

D'après la même classification grammaticale on distingue encore des locutions pronominales — tout le monde, quelque chose; adverbiales — d'un seul coup, tout à coup; prépositives et conjonctives — en matière de, à cause de.

• EXERCICES

* I. Relevez dans les textes étudiés (§ 1—8) des locutions figées. Comparez-les aux groupements de mots libres sur le plan de la possibilité ou de l'impossibilité de remplacer leurs composants par d'autres mots. Commentez leur expressivité, leur caractère national; analysez leur participation au développement des idées du texte.

Modèle: «C'est-à-dire, qu'une fois en première, la classe où l'on prépare le baccalauréat, il se met à travailler d'arraché-pied son grec.» (§ 3); d'arrache-pied — c'est une locution phraséologique figée, son sens ne découle pas du sens de ses composants (arracher et le pied); cette locution n'existe pas dans d'autres langues (russe, anglaise), elle est expressive parce que ses composants forment une image, elle est plus expressive que son équivalent sémantique — sans interruption; dans le texte du § 3 elle participe à la réalisation de la ligne thématique «les études de Paul».

H. Trouvez quelques locutions phraséologiques dans le texte du § 8. Expliquez leur sens en français en vous servant d'un dictionnaire linguistique.

III. Relevez dans les textes des articles de l'«Humanité» des locutions analytiques. Indiquez des locutions verbales, nominales, adverbiales, prépositives et conjon­ctives.

 

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IV. Trouvez parmi ces locutions analytiques celles qui peuvent être remplacées par un seul mot et celles dont le sens est impossible de rendre par un seul mot. Déga­gez dans la composition des locutions analytiques les éléments qui confèrent à toute la locution son sens spécifique qui ne permet pas de rendre la même idée par un seul mot.

V. Revisez tous les textes précédents (§ 1—7) en relevant les antonymes qui sont à la base des oppositions (s'il y en a quelques unes) dans ces textes.

VI. Trouvez des paires d'antonymes dans le texte étudié: expliquez leur rôle dans le
développement des idées du texte.

VII. Trouvez dans un dictionnaire les antonymes des mots suivants: fort, libre, puis­
sant, pauvre, varié, copieux, rapide, ascension, aîné, anonyme, crasseux, humide,
effrayer.

VIII. Trouvez les acceptions des mots polysémiques suivants: manquer, études, réser­
vé, rêve, papier, corps, tracé. Donnez un contexte minimal à chaque acception
de sorte que le mot accomplisse son but communicatif.

IX. Formez à l'aide des affixes les dérivés des mots suivants: passion, public, la
plonge, confiance, feuilleter, allègrement, impressionner, sensibilité, lumineux.

Analysez le rôle des affixes dans la formation des mots — changement de catégo­rie grammaticale, changement sémantique, apparition de nuances supplémentaires sémantiques ou stylistiques.

III. AUTOUR DU THÈME

Textes complémentaires

1. a) Faites individuellement une première lecture rapide du texte. Formulez en deux phrases son contenu:

La sonnerie, dans l'appareil, le rendait de plus en plus nerveux. Il décrocha: silence... Il s'apprêtait à couper lorsqu'une voix de femme parla:

«Oui, j'écoute.» De saisissement, il ne sut que répondre.

«Allô? Allô? J'écoute!

— C'est au sujet de l'annonce, madame.»
Subitement, il avait parlé avec une facilité inattendue.

«On avait pensé à une secrétaire, mais il est vrai que le texte ne... Enfin, n'importe. Je m'appelle Mme Arèle. Vous savez les condi­tions?»

— Oui, madame.

— Vous connaissez l'allemand et l'anglais, n'est-ce pas?

— Je suis agrégé d'allemand et j'ai une bonne connaissance de l'an­
glais.

— Bien. Notez qu'en ce qui me concerne, je ne m'occupe que de fixer
les rendez-vous. Avant toute chose, que je vous dise... Il s'agit d'un
secrétariat auprès de M. Holberg.

— Je sais.

— Ah I vous savez! Bien. Est-ce que votre formation universitaire
s'accommodera de... Mais, voyons, quel âge avez-vous?


_ Vingt-huit ans.

_ La secrétaire que nous avions est partie pour Zurich se marier. Elle n'est restée en place que quelques mois. Je ne sais si M. Holberg acceptera d'engager quelqu'un qui ne viendrait, de la même manière, que, pour un temps limité, vous comprenez?

'—Je regrette.

D'après E. Roblès, La Remon­tée du fleuve

b) Faites une deuxième lecture individuelle de ce texte, choisissez un titre qui lu conviendra le mieux; justifiez votre choix:

1) Un coup de téléphone. 2) Un geste désespéré. 3) Un agrégé d'al­lemand.

2. Ecoutez l'enregistrement du texte suivant. Dites pourquoi se rapporte-t-il au thème «La jeunesse»?

DÉBUTANT S'ABSTENIR

Chaque année, 600 000 jeunes arrivent sur le marché du travail. Un garçon sur quatre, une fille sur deux sont sans emploi à la sortie des études. Le nombre des chômeurs — des sans emploi — augmente cha­que mois. Chez les 18—24 ans, il est trois à quatre fois plus fort que chez les adultes. A la sortie d'études plus ou moins longues, ils ont commencé à chercher un emploi, leur premier emploi. Les uns ont trou­vé, les autres cherchent encore...

Isabelle, 20 ans:

Avec son bac, elle n'espère pas grand chose. «Je suis inscrite à l'Agence nationale pour l'emploi (A.N.P.E.) depuis décembre 4. Je me rends compte que ça ne sert pas à grand-chose. Il n'y a rien pour moi dans les petites annonces de l'A.N.P.E. Qu'est-ce qu'on peut faire avec le bac? Alors, j'ai décidé de suivre un stage d'informatique pendant trois mois. Tout le monde m'a dit: «Tu verras, l'informatique c'est l'avenir». Mon stage est fini depuis deux mois et je n'ai pas de tra­vail. Les employeurs font toujours le même reproche: «Vous n'avez pas d expérience». C'est chaque fois la même chose: «Débutant s'abstenir». Alors, je continue à lire les petites annonces dans les journaux, à en­voyer des lettres, à préparer des examens pour entrer à l'école supéri­eure. Heureusement, je vis chez mes parents. Mais vivre sans emploi, ce n'est pas vivre!»

Emmanuel, 30 ans:

И a fait des études de géographie pendant sept ans, des études qui normalement permettent de devenir professeur à l'université ou de faire oes recherches. Il est... chauffeur-livreur: il conduit un petit camion I \a.fporter des paquets chez les uns et les autres. «C'est très diffici e> dit Emmanuel. Au travail, je n'ose pas dire que je suis géographe.


Et je suis gêné quand mes amis me demandent où je travaille. Pour le moment, je gagne ma vie, c'est tout. Mais ça ne peut pas durer com­me ça...»

Le nombre des emplois diminue depuis plusieurs années. Les emplo­yeurs préfèrent «celui-qui-a-de-1'expérience» au débutant, les jeunes sont plus nombreux à faire des études plus longues. Mais ils ne font pas tou­jours des études «utiles», c'est-à-dire adaptées aux besoins de la vie sociale. Très souvent, les jeunes sont obligés de dire oui à un emploi en-dessous de leurs qualités et de leurs connaissances. La réalité] est bien loin du rêve.

D'après Passe-Partout -

Questionnaire

1. Arrive-t-il souvent que les gens choisissent leur métier «par né­
cessité, non par choix»? De quoi cela dépend-il?

2. Le travail joue-t-il un rôle important dans la vie d'homme?
Détermine-t-il ses valeurs spirituelles?

3. Secrétaire, est-ce un métier de femme à votre avis? Et chirur­
gien, professeur? Motivez votre jugement.

4. Y a-t-il des métiers de femme et des métiers d'homme à votre
avis? Par quoi cela s'explique?

5. Comment expliquez-vous le fait qu'une femme gagne en moyen­
ne moins qu'un homme?

6. Que pensez-vous de la passion «du mieux vivre»? Pour qui est-
elle l'unique raison d'être?

7. Croyez-vous que beaucoup de jeunes gens aient une existence
vide?

8. Parlez des valeurs vraies et fausses dans la vie humaine en gé­
néral et dans votre vie. Changent-elles avec l'âge?

9. Trouvez quelques exemples littéraires (dans la littérature françai­
se, russe, soviétique) où soit traité le problème du rapport du matériel
et du spirituel dans la vie humaine.

 

10. Est-il difficile de trouver un emploi pour un débutant en Fran­
ce? Par quoi cela s'explique-t-il? Ce problème existe-t-il dans notre
pays?

11. Que pensez-vous du rôle de la profession dans la vie d'un jeune
homme? Est-elle plus importante que les autres aspects de la vie de
l'homme à cette période de sa vie (rapports humains, amitiés, amour)?

12. A votre avis, le sport tient-il une place importante dans la vie
de la jeunesse? Motivez votre jugement.


THÈME: VIE PROFESSIONNELLE

§ 9

ETUDE DU LEXIQUE

Distinguez

Désirer qch, faire qch, que — tendre consciemment vers ce qu'on ai­merait posséder, éprouver le désir de: Désirez-vous encore un peu de salade? Il désire s'entretenir avec vous. Je désire qu'il vienne me voir.

Souhaiter qch à qn, à qn de faire qch, faire qch, que — désirer pour soi ou pour autrui la possession, l'accomplissement d'une chose: Je lui ai souhaité bonne chance. Je lui souhaite de bien passer ses exa­mens. Il souhaiterait vous aider. Je souhaite que tout aille bien.

Retenez

Applaudir qn, qch — accueillir, saluer par des applaudissements: A la fin de la représentation le public a longtemps applaudi les acteurs. Son discours a été chaleureusement applaudi.

Applaudir à une chose — l'approuver entièrement: Les journaux ont applaudi à cette initiative.

Faire signe de faire qch: 7/s nous ont fait signe de les suivre. Fai­re un signe de la tête, de la main: II nous a appelés en faisant un signe de la main.

Assistance / — 1. Personnes réunies pour assister à qch: Cette confé­rence a plu à l'assistance. 2. Appui, secours donné ou reçu: // a de­mandé l'assistance de ses collègues.

Attention aux p ré positions

Faillir faire qch: Ils ont failli être en retard.

Menacer qn (de qch, de faire qch): // ne menace personne. Le pa­tron Га menacé de renvoi (de le renvoyer).

Se) séparer de qn, de qch: La guerre Га séparé de ses parents, ne se sépare jamais de son calepin.

Je n'ai pas dormi de la nuit. Je n'ai pas mangé de toute la journée.



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